L'œil de l'ApéSuite à ma conférence[1], j’avoue avoir été impressionné par les similitudes entre l’univers de l’abeille et cette confrérie. Les questions posées par les personnes présentes et la mise en perspective de ces deux univers m’ont inspiré.

A l’intérieur de leur atelier comme ils le désignent, il règne une ambiance de franche et attentive cordialité : comme dans une ruche.

Pour garder vivace le souvenir de ce moment et pour en conserver la pleine et entière émotion j’ai esquissé cette aquarelle[2].

À propos, les lignes que vous voyez sous l’épreuve sont dues au fait que je jette mes idées sur un vieux livre de compte vierge daté du 13 octobre 1846 que j’ai trouvé à la décharge.

Notes

[1] Voir commentaire de l’article “Sous la voûte de l’Apé (1)”

[2] J’en ferai très prochainement une toile